La Tête au Milieu

En lien avec le diagramme de Venn pour 4 ensembles, cette suite de six travaux, encres sur papier, 41×41.

La logique du diagramme est chaque fois appliquée à 4 couleurs du spectre primaire et secondaire par entrelacs de ligne, les 2 couleurs exclues viennent ensuite compléter les vides et rétablir une sorte d’équilibre chromatique.

Par jeu de rotations de couleurs, j’ai modifié l’assemblage en 6 variations distinctes.

[Montrer sous forme de diaporama]

Du 6 juillet au 22 septembre, la galerie Capazza à Nançay présentera un ensemble de mes travaux récents, principalement des suites et entrelacs chromatiques.
Une occasion de découvrir pleinement la sensibilité de mon travail, vibrations cinétiques, interaction de couleurs…

Dernier assemblage de lignes en suites

au format corps chromatique

Série de dix déclinaisons (32×32) autour d’une suite chromatique liée en six couleurs altérée par une autre suite rythmique en bichromie (intercalée)

5 premières variations en intensité autour d’une bichromie noir franc/noir chromatique

Des suites chromatiques qui telles des vagues s’entrelacent pour cette nouvelle réalisation très vibrante et colorée

Une année a passé, et mon travail sur les entrelacs s’est affiné. Prolongeant ma démarche, j’ai cherché à entrelacer dessins linéaires (carrés formels / courbes fluctuantes) et surfaces chromatiques dans une écriture de trame, coeur temporel de l’entrelacs. »/ »

Vibrantes et réactives à la lumière, ces travaux combinent vibrations optiques et synthèses chromatiques dans un « apparaissant » sans cesse renouvelé. Une expérience du « Voir ». »/ »

Courbes et lignes s’agitent en une surface centrale. deux interprétations chromatiques s’entrelacent.

études préalables :

Un flux tramé horizontal s’agite et ondule en passant dans une surface puis se tend à nouveau… 2 nouvelles « réifs »

Les lignes et leur tracé portent en elles un vécu propre lié à leur direction. La ligne droite est par définition mono-directionnelle ; la ligne courbe quand à elle est de manière continue toujours liée à une nouvelle direction. L’ondulation d’une ligne peut réunir ces deux caractéristiques ; les courbes qui la forment peuvent suivre un flux mono-directionnel. Le tracé d’une ondulation régulière est particulièrement lié au sensible, quête d’un impossible équilibre de la fluidité de l’écriture et des courbes qui se succèdent… Par ailleurs en opposition avec les lignes mono) directionnelles, les ondulation agissent par leur dynamisme sur la perception de la surface.

Mes derniers travaux (les « Réïf ») cherchent à explorer cette nouvelle direction d’écriture des lignes, jouant de passages progressifs entre statisme du linéaire et dynamisme de l’ondulation.

Nouvelles lignes en flux

FLUX 13
brou de noix sur papier
22×22